De nombreuses études ont décrit et évalué le fardeau porté par les aidants naturels et familiaux, en dépit des grands bénéfices et de grandes satisfactions procurées par le fait de prendre soin et d’accompagner un proche malade ou dépendant. Cette équipe de de l'Université de Buffalo-SUNY, pose la question d’un impact de ce fardeau de l’aidant naturel sur le risque de mortalité prématurée : le fait d’être aidant affecte-t-il la longévité ?