Même sans troubles cognitifs évidents, les personnes atteintes de premières lésions liées à la maladie d'Alzheimer présentent déjà un risque sérieux de chutes, alerte cette étude de l'Université de Washington, présentée dans le Journal of Alzheimer's Disease. L’équipe décrypte les facteurs de ce risque accru de chute, non pas l’amyloïde mais la neurodégénérescence, en particulier dans les réseaux somatomoteurs impliqués dans le traitement des entrées sensorielles et le contrôle du mouvement.