Cette étude est la première à examiner les symptômes dépressifs durant la dernière année de vie. Les conclusions, présentées dans le Journal of the American Geriatrics Society, révèlent une incidence très élevée de la dépression au cours du mois précédant le décès. Le développement tardif de la dépression pourrait ainsi être considéré comme un indice voire un marqueur de risque de fin de vie imminente.