Cette étude de l’Université Vanderbilt (Nashville) révèle une forme unique de sinusite chronique chez les patients âgés, une maladie de la cavité nasale et des sinus paranasaux persistante chez ces patients pendant de nombreuses années. Les chercheurs identifient une signature inflammatoire unique qui peut réduire la réponse au traitement par les stéroïdes. Si ces nouvelles données, présentées dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology ont plutôt tendance à conférer une efficacité moindre, dans ce cas, aux traitements habituels (stéroïdes, chirurgie des sinus), ils appellent à plus de recherche pour mieux comprendre ce processus pathologique spécifique.