La fragilité est un état pathologique et non une conséquence inévitable du vieillissement, soutient cette équipe de la Monash University (Australie) qui décrit donc la fragilité telle une maladie à part entière, avec ses implications médicales, sociales et économiques. Cette analyse historique du développement de la fragilité chez 120.000 personnes de plus de 60 ans dans 28 pays, nous livre une incidence moyenne de 4,3% (par an) qui incite à rappeler que des interventions telles que la musculation et la supplémentation en protéines peuvent aider à prévenir ou à retarder sa progression.